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== IA ORA NA TATOU ==
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== Le technopôle d'hier ==
''(Bonjour tout le monde)''
 
  
  
« HEI PUNA » ou « Couronne sacrée », c'est le nom de l'association de danse polynésienne créee en janvier 2007 et hébergée à la Maison Pour Tous de Saint- Pierre.
 
[[Image:echo214a.jpg|thumb|left|HEI PUNA]]
 
  
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Créé en 1989 par la C.U.B, le Technopôle Brest-Iroise, regroupait une centaine d'entreprises. Il visait trois objectifs : la mer, les biotechnologies et agroalimentaire, l'électronique et l'informatique. Elle s'étendait sur [[Brest]] (Le Vernis) et [[Plouzané]] (La Pointe du Diable) et favorisait le rapprochement entre la recherche, l'enseignement supérieur et les activités économiques.
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[[Image:Echo217a.JPG|thumb|left|La pointe du diable]]
  
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=== Priorité à la formation ===
  
== Un peu d'histoire ==
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Si en 1989, les réalisations concernaient en priorité la formation, on pouvait lire dans le journal «Les Échos» du 18 février 1993, sous la plume de Stanislas du Guerny : ''«pour favoriser le décollage du Technopôle Brest-Iroise, l'État a donné un sérieux coup de pouce, en délocalisant sur le site breton, le service technique des Phares et Balises et l'Institut Polaire (une centaine d'ingénieurs et techniciens). De son côté, le groupe Thomson, qui cherche a compenser la baisse d'activité de sa division brestoise Thomson-CSF, y a installé sa filiale Thomson « Broadband Systems », spécialisée dans la production de fibre optique (70 emplois créés) ».''
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=== Programmes fédérateurs ===
  
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« 5000 personnes travaillaient sur le site en 1993, en y incluant les 1200 étudiants de l'École supérieure des télécommunications et l'École nationale d'ingénieurs de Brest. La ville multiplie les efforts : hameau d'entreprises, «Maison du technopôle», qui abrite l'équipe d'animation en conseil d'entreprises dans les secteurs de la recherche océanographique, agroalimentaire et informatique.»
  
Autrefois interdite par le clergé pour obscénité, la danse polynésienne conserve son rôle social. Comme la parole ou l'écriture, elle constitue un mode de communication uniquement accessible aux participants initiés ; Entrée dans la clandestinité au XIXéme siècle, elle n'en ressortira que dans les années 50 par de nombreuses chorégraphies.
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=== Implantation d'entreprises ===
  
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Le Technopôle Brest-Iroise, c'est aussi une collaboration avec d'autres sites technologiques bretons et de nombreux organismes spécialisés : réseau EBN (European Business network) qui apporte aux entreprises une ouverture sur l'Europe.
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En 2000, la S.A Summun, s'installe sur le Technopôle. C'est un laboratoire spécialisé dans le test des médicaments issus des recherches en biotechnologie par l'industrie pharmaceutique. En 2004 le laboratoire de microbiologie des environnements extrêmes (LM2E), voit le jour. C'est une unité mixte de recherche CNRS, [[Ifremer]] et [[UBO]]. En 2006, une petite Start-up teste un nouveau prototype d'éolienne. L'entreprise [[Madame Cabasse, chef d'entreprise|Cabasse]] spécialisée dans l'acoustique, est aussi présente.
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On ne saurait parler du Technopôle sans citer IFREMER présent sur le site depuis le début. Des entreprises comme Thales associé à Coopagri Bretagne, Even, ou bien Thales Alcatel Télécom et DCNS.
  
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'''Auteur : Ollivier Disarbois'''
  
== Promouvoir sa culture ==
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[[Iechnopôle Brest-Iroise|Lire la suite]]'''''  
 
 
 
 
Elle est polynésienne, lui est militaire de carrière et d'origine auvergnate, tous deux, installées à Brest, pratiquent la danse polynésienne, avant de créer leur propre association et connaître cet engouement  avec aujourd'hui près de 80 adhérents répartis sur 3 niveaux et entraînés par un professeur de danses. Un premier niveau de 15 danseurs confirmés, un second niveau de 35 débutants et un troisième groupe de 28 très jeunes danseurs dont la plus petite a 4 ans.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
[[IA ORA NA TATOU|Lire la suite]]'''''  
 
  
  

Version du 7 décembre 2009 à 13:19

Le technopôle d'hier

Créé en 1989 par la C.U.B, le Technopôle Brest-Iroise, regroupait une centaine d'entreprises. Il visait trois objectifs : la mer, les biotechnologies et agroalimentaire, l'électronique et l'informatique. Elle s'étendait sur Brest (Le Vernis) et Plouzané (La Pointe du Diable) et favorisait le rapprochement entre la recherche, l'enseignement supérieur et les activités économiques.

La pointe du diable

Priorité à la formation

Si en 1989, les réalisations concernaient en priorité la formation, on pouvait lire dans le journal «Les Échos» du 18 février 1993, sous la plume de Stanislas du Guerny : «pour favoriser le décollage du Technopôle Brest-Iroise, l'État a donné un sérieux coup de pouce, en délocalisant sur le site breton, le service technique des Phares et Balises et l'Institut Polaire (une centaine d'ingénieurs et techniciens). De son côté, le groupe Thomson, qui cherche a compenser la baisse d'activité de sa division brestoise Thomson-CSF, y a installé sa filiale Thomson « Broadband Systems », spécialisée dans la production de fibre optique (70 emplois créés) ».

Programmes fédérateurs

« 5000 personnes travaillaient sur le site en 1993, en y incluant les 1200 étudiants de l'École supérieure des télécommunications et l'École nationale d'ingénieurs de Brest. La ville multiplie les efforts : hameau d'entreprises, «Maison du technopôle», qui abrite l'équipe d'animation en conseil d'entreprises dans les secteurs de la recherche océanographique, agroalimentaire et informatique.»

Implantation d'entreprises

Le Technopôle Brest-Iroise, c'est aussi une collaboration avec d'autres sites technologiques bretons et de nombreux organismes spécialisés : réseau EBN (European Business network) qui apporte aux entreprises une ouverture sur l'Europe. En 2000, la S.A Summun, s'installe sur le Technopôle. C'est un laboratoire spécialisé dans le test des médicaments issus des recherches en biotechnologie par l'industrie pharmaceutique. En 2004 le laboratoire de microbiologie des environnements extrêmes (LM2E), voit le jour. C'est une unité mixte de recherche CNRS, Ifremer et UBO. En 2006, une petite Start-up teste un nouveau prototype d'éolienne. L'entreprise Cabasse spécialisée dans l'acoustique, est aussi présente. On ne saurait parler du Technopôle sans citer IFREMER présent sur le site depuis le début. Des entreprises comme Thales associé à Coopagri Bretagne, Even, ou bien Thales Alcatel Télécom et DCNS.

Auteur : Ollivier Disarbois

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