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Jean Mor : Différence entre versions

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==Biographie==
 
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'''Jean Mor,''' est un jeune esclave martiniquais, venu à Brest avec son maître, officier de marine. Pour essayer de retrouver sa liberté il tenta d'empoisonner ce dernier avec une variété de piments des îles sans y parvenir. Il fut jugé à Rennes en 1764, reconnu coupable et condamné à être étranglé puis brûlé sur la place publique de [[is_city::Brest]], ses cendres seront dispersées au vent brestois. Une rue porte le nom de Jean Mor au Bergot.
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'''Jean Mor,''' est un jeune esclave martiniquais, venu à Brest avec son maître, Claude César de Nortz, enseigne des vaisseaux du roi. Il a à peu près 20 ans lorsqu’il arrive à Brest où il aspire à goûter la liberté que son maître lui a promis mais qu’il a toujours refusé de lui donner. Il décide donc de tenter d'empoisonner ce dernier avec une variété de piments des îles sans y parvenir. Il fut jugé à Rennes en 1764, reconnu coupable et condamné à être penud puis brûlé le 29 mai 1764, à [[is_city::Brest]] sur la Place Saint- Louis. Ses cendres seront dispersées au vent brestois, le privant ainsi de tout sépulture chrétienne : ultime bannissement de la communauté des hommes à l’époque. Une rue porte le nom de Jean Mor au Bergot.
  
''Dominique Marquis''
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''Source : [[Portail:Bellevue, journal de nos quartiers|Journal de Bellevue]] et [[Archives municipales et communautaires de Brest]]''
  
 
==Lien interne==
 
==Lien interne==

Version du 8 juin 2015 à 09:23

Localisation

Une rue à Brest dans le quartier de Bellevue.

Rue Jean Mor, Bellevue à Brest
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Anecdotes

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Biographie

Jean Mor, est un jeune esclave martiniquais, venu à Brest avec son maître, Claude César de Nortz, enseigne des vaisseaux du roi. Il a à peu près 20 ans lorsqu’il arrive à Brest où il aspire à goûter la liberté que son maître lui a promis mais qu’il a toujours refusé de lui donner. Il décide donc de tenter d'empoisonner ce dernier avec une variété de piments des îles sans y parvenir. Il fut jugé à Rennes en 1764, reconnu coupable et condamné à être penud puis brûlé le 29 mai 1764, à Brest sur la Place Saint- Louis. Ses cendres seront dispersées au vent brestois, le privant ainsi de tout sépulture chrétienne : ultime bannissement de la communauté des hommes à l’époque. Une rue porte le nom de Jean Mor au Bergot.

Source : Journal de Bellevue et Archives municipales et communautaires de Brest

Lien interne

Liens externes

Source

  • Bellevue, journal de nos quartiers
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