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Portail:Écho de Saint-Pierre Quilbignon/Lumière sur : Différence entre versions

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'''<big>Les Plantes Invasives</big>'''
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== La vie quotidienne pendant l'occupation ==
  
 
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Souvenirs personnels des années 1943 – 1944. Je voudrais évoquer, avec vous bien sûr, quelques souvenirs de ces années dites d'occupation. Il y avait de sévères restrictions en tous genres. A cette époque, j'étais "ado", mais il m'en reste quelque chose.
L' Écho de juin 2008 nous annonçait le lancement par les collectivités d'une campagne de lutte contre les plantes invasives : c'est un travail de longue haleine. La nature n'attend ni les circulaires, ni les budgets, ni la formation des intervenants. La deuxième difficulté est que la collectivité ne peut intervenir sur les terrains des particuliers ou les friches et il n'y a pas de contraintes incitatives. Les premières interventions sur la "renouée du Japon" ont débuté en 2010 dans notre quartier. Les premiers résultats que l'on peut voir aujourd'hui sur les premières interventions sont encourageants, mais vu l'étendue de l'invasion et le peu de moyens mis en place, le combat sera long. Voici quelques conseils.'''''
 
  
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=== Quoi manger ?===
Fichier:echo259L.jpg|La renouée du Japon
 
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'''La renouée du Japon'''
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[[Fichier:Echo260r.jpg|thumb|Coupons d'achat de chaussures]]
  
Pour éradiquer la renouée du japon : il faut faire une coupe rase deux ou trois fois dans l'année pour qu'elle épuise ses réserves et ne produise pas de graines. Les déchets de coupes doivent être déposés en déchetterie. Ensuite, priver la plante de lumière avec un paillage végétal, carton ou bâche, puis implanter des végétaux couvrants. Plusieurs années peuvent être nécessaires pour se débarrasser de la renouée du Japon si l'infestation est ancienne. Dans certains endroits, il est impossible de la détruire, l'enjeu sera alors d'empêcher son extension.
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Tout d'abord cette obligation de survie, d'où les longues queues sur le trottoir, dès qu'une annonce de ravitaillement était faite. Il fallait beaucoup de patience, et surtout maîtriser sa déception quand la commerçante annonçait "c'est fini, il n'y en a plus". En échange des tickets d'alimentation, distribués par la mairie (25 grammes de ceci ou de cela), on recevait un peu de matières grasses, ou de viande, ou de pain (quelle horreur), vin ou tabac. Il en était de même pour le textile, les chaussures.
[[Les plantes invasives|Lire la suite ...]]
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Pour le café ? J'ai vu ma mère griller de l'orge pour en faire un minable breuvage, car les précieux grains se comptaient. On les réservait peut-être pour une occasion exceptionnelle.
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[[La vie quotidienne pendant l'occupation|Lire la suite ...]]
  
 
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[[Catégorie:Écho de Saint-Pierre]] [[Catégorie:Environnement]][[Catégorie:Éducation à l'environnement dans le Pays de Brest]]
 
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Version du 4 mars 2014 à 16:33

La vie quotidienne pendant l'occupation

Portail:Écho de Saint-Pierre Quilbignon/Lumière sur
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Un article de : Mémoire de St-Pierre
Parution : février 2014
N° : 260
Auteur : Yvette Chapalain


Souvenirs personnels des années 1943 – 1944. Je voudrais évoquer, avec vous bien sûr, quelques souvenirs de ces années dites d'occupation. Il y avait de sévères restrictions en tous genres. A cette époque, j'étais "ado", mais il m'en reste quelque chose.

Quoi manger ?

Coupons d'achat de chaussures

Tout d'abord cette obligation de survie, d'où les longues queues sur le trottoir, dès qu'une annonce de ravitaillement était faite. Il fallait beaucoup de patience, et surtout maîtriser sa déception quand la commerçante annonçait "c'est fini, il n'y en a plus". En échange des tickets d'alimentation, distribués par la mairie (25 grammes de ceci ou de cela), on recevait un peu de matières grasses, ou de viande, ou de pain (quelle horreur), vin ou tabac. Il en était de même pour le textile, les chaussures. Pour le café ? J'ai vu ma mère griller de l'orge pour en faire un minable breuvage, car les précieux grains se comptaient. On les réservait peut-être pour une occasion exceptionnelle. Lire la suite ...

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