Léocadie Salaun-Penquer, femme de lettres : Différence entre versions
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Elle collabore à plusieurs revues bretonnes et écrit également quelques pièces de théâtre : | Elle collabore à plusieurs revues bretonnes et écrit également quelques pièces de théâtre : | ||
− | + | :*''Marceline'' (1870) | |
− | + | :* ''Syndoryx le barde de Penmarc'h'' (1870) | |
− | + | :*''L'œillet rose'' (1874). | |
On lui doit également un conte en 1888, ''La Payse''. | On lui doit également un conte en 1888, ''La Payse''. |
Version du 13 mars 2008 à 16:17
Léocadie Hersent, née le 14 février 1817 au château de Kerouartz à Lannilis, devient en secondes noces la femme d'Auguste Salaün-Penquer, médecin et maire de Brest de 1871 à 1880.
Biographie
Petite-fille par sa mère du général Coban-Vabre, baron d'empire et gouverneur de Brest (1813), elle avait épousé en premières noces un jeune officier, Victor Burle. A 32 ans, veuve, elle épouse Auguste Salaün-Penquer le 15 septembre 1851. Elle fréquente à Paris les salons parisiens où elle croise Victor Hugo, Lamartine, de Hérédia, Leconte de Lisle qui devient son ami et qu'elle fait venir en vacances sur les bords de l'Elorn. A Brest, elle organise des soirées littéraires chez elle, au 16 rue du Château, soirées très suivies, en particulier par les membres de la Société Académique. Elle publie elle-même des recueils de poèmes.
Œuvres
- Les chants du foyer (1862)
- Les révélations poétiques (1864)
- A propos des arbres du Luxembourg (1866)
- Vélléda (1868)
- Mes nuits (publié après sa mort, 1891)
Elle collabore à plusieurs revues bretonnes et écrit également quelques pièces de théâtre :
- Marceline (1870)
- Syndoryx le barde de Penmarc'h (1870)
- L'œillet rose (1874).
On lui doit également un conte en 1888, La Payse.
On retiendra également son « Appel à toutes les femmes ».
Elle meurt le 19 décembre 1889 et son œuvre est aujourd'hui retombée dans l'oubli. Auguste Bergot lui a consacré un article dans les Cahiers de l'Iroise (1956). Les archives municipales et communautaires de Brest ont acquis le fonds Penquer en 2004.
Source
- texte fourni par les Archives municipales de Brest.