Domaine de Kervallon : Différence entre versions
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==Pour en savoir plus== | ==Pour en savoir plus== | ||
* '''Annie Henwood''' ''La bastide de Kervallon à Brest'' Les [[Cahiers de l'Iroise]], N° 183 - Juillet 1999 p 26 | * '''Annie Henwood''' ''La bastide de Kervallon à Brest'' Les [[Cahiers de l'Iroise]], N° 183 - Juillet 1999 p 26 | ||
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Version du 12 janvier 2010 à 12:54
Et ce qu'il en reste aujourd'hui <googlemap version="0.9" lat="48.395082" lon="-4.512484" type="satellite" zoom="15" height="500"> 48.393969, -4.511997, Kervallon Domaine de Kervallon
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Quelques éléments d'Histoire
C'est en 1788 que Jean-Baptiste-Catherine-Alain, marquis de Fayet, seigneur de Peychaud et de Liversan, lieutenant au régiment des gardes françaises, demeurant à Paris, vend le domaine de Kervallon à Jean-François Riou, sieur de Kerhallet. Selon l'acte de vente les bâtiments du domaine sont en mauvais état. Riou-Kerhallet y installera un site industriel prospère : cales, quais, chantiers de construction navale, tannerie, fabrique de papier et cela jusqu'au rachat de ses installations par la Marine en 1835. La propriété demeurera dans la famille tout au long du XIX e siècle : Jean-Michel-Armand Riou-Kerhallet (1791-1858) maire de Saint-Pierre et son fils Jean Joseph Auguste (1829-1861) seront parmi les propriétaires les plus imposées de la commune de Saint-Pierre-Quilbignon.
Pour en savoir plus
- Annie Henwood La bastide de Kervallon à Brest Les Cahiers de l'Iroise, N° 183 - Juillet 1999 p 26
