Utilisateur:PromenerS3/Le jardin des explorateurs
Le Jardin des explorateurs fut fondé en 1694 au sein de l’hôpital maritime de Brest et était destiné à la culture de plantes médicinales. Rapidement, il devient le jardin royal des plantes, il a comme objectif de mettre en quarantaines toutes ces plantes venus du monde entier, avant de les envoyer vers les collections du Muséum national d’Histoire Naturelle de Paris et les jardins botaniques d’autres villes de France. Celles abritées au sein de ce jardin sont issu du monde entier rapportées par des explorateurs et des botanistes partis de Brest (Jacques Julien Houton De La Billardière, Etienne Raoul, Philibert Commerson et Louis Antoine de Bougainville) de 1766 à 1769, partis à l’exploration du monde pour la France). Une grande partie des plantes présentées dans ce jardin sont originaires d’Amérique du Sud, d’Afrique du Sud, d’Australie, de Nouvelle Zélande et du Japon.
Le jardin des explorateurs fut inauguré le 20 mars 2002. Il représente maintenant un passage obligatoire pour une balade dans Recouvrance. Un très beau Belvédère vous permettra de découvrir le château de la Penfeld. Ce jardins est ouvert sur un second s’ouvrant sur Laninon et son domaine militaire, avec vue sur le goulet et la presqu’île de Crozon. La balade peut reprendre par les « Hauts » du jardin et débouche rue de Rochefort sur l’église Saint-Sauveur. Ce point de vue reste, à mon avis, le plus intéressant du Brest intra-muros et permet au guide de s'exprimer à l’envi et de dispenser aux visiteurs de nombreuses thématiques sur l’histoire de la ville et du port (des origines au XVIIe siècle). La municipalité veut rendre hommage à ces grands marins et explorateurs qui revenaient de leurs expéditions les poches bourrées de graines exotiques.
Le jardin est compose de 2 parties appelées partie haute et partie basse. cette partie est entourée de murs qui s'appelait auparavant la batterie du Cavalier. Cette partie était très importante car elle permettait de défendre le port. Dans la partie haute on peut observer des plantes venant d'autres continents présenté de façon plus libre.
