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Portail:Femmes au Pays de Brest/Paroles de femmes : Différence entre versions

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==Economie sociale et solidaire : Nolwenn Yven de Pop Korn, l'agence de communication alternative==
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==De bonnes vibrations à Brest==
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'''Nolwenn Yven de Pop Korn, [http://www.brest-ouvert.net/article4295.html publiée initialement] dans le [http://www.brest-ouvert.net/ magazine Brest-Ouvert.Net ]'''
 
  
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''Dans des domaines aussi variés que les services aux personnes, l'environnement, le conseil, les coopératives de production ou le commerce équitable, l'économie sociale et solidaire est un secteur en plein développement particulièrement en Bretagne. Les initiatives de ce secteur sont non seulement créatrices d'emploi mais aussi productrices de citoyenneté, de lien social, de solidarité, avec le souci de l'épanouissement des salariés d'une part et de l'utilité sociale et environnementale d'autre part. poursuivent avec cette interview de Jean-Pierre Kerléo, ancien responsable du secteur de l'insertion économique à la communauté urbaine de Brest, une série de points de vue destinée à mettre en valeur et promouvoir la place de l'Economie sociale et solidaire au pays de Brest.''
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''Bien qu'elle s'adonne essentiellement à l'écriture et à la mise en scène, Marie Hélia a largement balayé le spectre cinématographique. Avant de passer derrière la caméra, elle fut aussi comédienne et, du film court au moyen métrage, du documentaire à la fiction, elle a essayé la plupart des genres. Avec récemment, la sortie applaudie par la critique et le public de Microclimat, son premier long métrage, la boucle est bouclée. Mais l'enfant de Douarnenez aujourd'hui brestoise, n'a pas fini de tourner.''
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[[Image:Nolwenn pop-korn.jpg|thumb|left|Nolwenn Yven|150px]]
 
  
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'''- BO : Peux-tu présenter en quelques mots Pop Korn ?'''
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'''Vous souvenez-vous de vos premières lectures ?'''
  
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Pop-korn est une agence de communication alternative. L'agence propose une gamme de produits étendue : conseil en stratégie, création et réalisation de supports (web, print, vidéo...), accompagnement et suivi de projets .
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J'ai commencé avec Oui-Oui et le Club des Cinq, vers 7 ou 8 ans puis il y a eu le Capitaine Fracasse et la trilogie de Pagnol.  
  
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L'agence se différencie cependant clairement des autres : elle invente le concept de la communication alternative et équitable, ceci non pas par stratégie marketing mais par réelles convictions.
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'''Quels sont les premiers films que vous avez vus ?'''
  
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Nous sommes en effet partis du constat suivant : la communication professionnelle est accessible à de grosses structures aux moyens financiers importants. Pour les petites structures, se développer, diffuser ses idées et toucher un large public reste plus difficile.
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Ben Hur avec l'école, ça marque. Et puis, Fanfan la Tulipe, la première fois que j'ai eu le droit de regarder la télévision le soir.  
  
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L'idée est donc de ne plus accéder à une campagne uniquement parce que l'on a de l'argent, mais aussi parce que l'on a des compétences, du savoir-faire et du talent.
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'''Votre première caméra ?'''
  
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Nous avons donc mis en place un système de fonctionnement complètement novateur et inédit en créant une monnaie d'échange solidaire les « crédits pop » et le label de la communication alternative et équitable... '''''[[Nolwenn Yven de Pop Korn|Lire la suite]]'''''
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La caméra de mon père, une super-8 Bolex.
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'''À quand remonte votre envie d'être réalisatrice ?'''
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Dans les années 88-89, j'étais assistante de réalisation et j'ai rencontré des ouvrières d'usine. J'en ai fait l'Usine Rouge en 1989... '''''[[Marie Hélia, scénariste et réalisatrice|Lire la suite]]'''''
  
 
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Version du 8 février 2008 à 17:20

De bonnes vibrations à Brest

Bien qu'elle s'adonne essentiellement à l'écriture et à la mise en scène, Marie Hélia a largement balayé le spectre cinématographique. Avant de passer derrière la caméra, elle fut aussi comédienne et, du film court au moyen métrage, du documentaire à la fiction, elle a essayé la plupart des genres. Avec récemment, la sortie applaudie par la critique et le public de Microclimat, son premier long métrage, la boucle est bouclée. Mais l'enfant de Douarnenez aujourd'hui brestoise, n'a pas fini de tourner.

Vous souvenez-vous de vos premières lectures ?

J'ai commencé avec Oui-Oui et le Club des Cinq, vers 7 ou 8 ans puis il y a eu le Capitaine Fracasse et la trilogie de Pagnol.

Quels sont les premiers films que vous avez vus ?

Ben Hur avec l'école, ça marque. Et puis, Fanfan la Tulipe, la première fois que j'ai eu le droit de regarder la télévision le soir.

Votre première caméra ?

La caméra de mon père, une super-8 Bolex.

À quand remonte votre envie d'être réalisatrice ?

Dans les années 88-89, j'étais assistante de réalisation et j'ai rencontré des ouvrières d'usine. J'en ai fait l'Usine Rouge en 1989... Lire la suite

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