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Les écussons et armoiries visibles à Brélès Par Michel MAUGUIN : Différence entre versions

(Le document était incomplet et non à jour, l'auteur le remplace par un accès direct au PDF original.)
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Brélès  était une trève de la paroisse de Plourin elle ne devient commune qu’en 1791.
 
Brélès  était une trève de la paroisse de Plourin elle ne devient commune qu’en 1791.
 
Dans l’enclos paroissial, nous devons nous diriger vers la face ouest de l’église, au-dessus  de la porte se trouve un magnifique écusson d’alliance en pierre de Kersanton, que nous attribuons à Olivier du Chastel et son épouse Jeanne de Ploeuc, marié en 1408, ces éléments datent de la  construction de la chapelle de fin XIVe début XIVe siècle.
 
Dans l’enclos paroissial, nous devons nous diriger vers la face ouest de l’église, au-dessus  de la porte se trouve un magnifique écusson d’alliance en pierre de Kersanton, que nous attribuons à Olivier du Chastel et son épouse Jeanne de Ploeuc, marié en 1408, ces éléments datent de la  construction de la chapelle de fin XIVe début XIVe siècle.
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Fichier:Ecuisson_d'alliance_en_pierre_de_Kersanton.jpg|
 
Fichier:Ecuisson_d'alliance_en_pierre_de_Kersanton_2.jpg
 
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La fondation de la chapelle primitive serait attribuée au seigneur de Rosmadec, « une bulle d’indulgences est accordée en sa faveur en 1381 ». (Source : Patrimoine des communes du Finistère). Le chanoine Henri Pérennès l’attribue à la maison de Kergroadez, « une pièce de 1711, déclare que les seigneurs de Kergroadez sont les patrons de l’église de Brèles ».
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Le document complet "Le patrimoine héraldique de BRÉLÈS" est à l'adresse ci dessous.
Nous pouvons nous  étonner de trouver en si bonne place les armoiries de la famille du Chastel. Cette église, plusieurs fois remaniée a probablement eu plusieurs  mécènes, ce qui a pu créer quelques confusions sur le nom du fondateur de l’édifice. Plusieurs indices, de pierres armoriées que nous retrouvons dans le cimetière, attestent que la famille du Chastel de Trémazan était la principale prééminencière de ce lieu.
 
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Fichier:Ecuisson_du_Chatel_et_de_Ploeuc.jpg|
 
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Au fond du cimetière, sont scellés, des écussons devant provenir d’une partie ancienne de l’église, ils appartiennent tous à la maison du Chastel, dont deux presque identiques, situés, l’un au nord et l’autre au nord-est (recouvert par la végétation), ils sont entourés du collier de l’Ordre du Roy, dit aussi collier de l’Ordre de Saint-Michel
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http://michel.mauguin.pagesperso-orange.fr/Herald_Breles.pdf
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Fichier:Blason_d'Olivier_II_du_Chastel.jpg|
 
Fichier:Coeur_du_blason.jpg
 
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Il s’agit du blason d’Olivier II Du Chastel, marié à  Marie du Poulmic en 1459. Olivier II est le petit fils d’Olivier 1er et de Jehanne de Ploeuc. (Voir plus haut l’écusson au dessus de la porte ouest)
 
 
 
Un troisième écusson, plus complexe avec les armes de jean de Boiséon et son épouse jeanne de Rieux, fille de Jehanne du Chastel et Guy de Rieux mariés en 1560. Une autre hypothèse avancée par L. Le Guennec, reprise par le Chanoine Henri Prérennès, ajoute les couleurs de Kergroadez sous Boiséon et met Kerlec’h à la place de Du Chastel, ce qui plus qu’improbable, il n’existe pas de lien connu entre Kergroadez-Rieux et Kerlec’h–Rieux.
 
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Fichier:Ecuisson_Boiséon_et_du_Chastel.jpg|
 
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Dans le cimetière plusieurs sépultures portent des armoiries dont : celle de  François Le Borgne de Keroulas datée  de 1843
 
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Fichier:Ecuisson_Le_Borgne.jpg|
 
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On peut remarquer l’érosion de la pierre tombale en 170 ans.
 
Une seconde, datée de 1918 appartenant à François de Lorgeril et son épouse  Louise de Bois-Riou de Keroulas   
 
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Fichier:Ecuisson_De_Lorgeril.jpg|
 
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Cette famille est originaire de Plorec en Côtes d’Armor, entre Lamballe et Dinan. Le manoir de Keroulas est passé par mariage  d’une héritière de Keroulas  à la maison Le Borgne de Bois-Riou et enfin à de Lorgeril.
 
La troisième sépulture est celle de  Marie de Poulpiquet de Brescanvel, veuve d’Hervé de Parcevaux de Tronjoly 
 
Il faut noter que les oiseaux représentés  sont bien des poules et non des pies de mer.
 
Ceci n’a pas une grande importance, la famille de Poulpiquet est suffisamment nombreuse pour choisir l’oiseau de leur souhait.
 
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Fichier:Marie_de_Poulpiquet_de_Brescanvel.jpg|
 
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Voici différentes représentations connues du blason des de Poulpiquet, en art héraldique, l’important est que l’écu soit d’azur avec trois oiseaux d’argent.
 
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Fichier:Blason_de_Poulpiquet.jpg|
 
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Nous allons nous rendre dans l’église en franchissant la petite porte sud, nous trouvons un écusson sculpté sur le bénitier à droite en entrant.
 
Nous ne connaissons pas le généreux donateur du bénitier, cet écusson est inconnu dans les armoriaux, rien ne permet à ce jour de l’attribuer à une famille connue ayant vécu dans le Bas-Léon.
 
 
 
 
 
 
Il peut s’agir d’armes d’un riche marchand
 
Il est à noter que sous l’ancien régime, les églises étaient décorés de nombreux écussons, il n’en reste pratiquement plus rien au XXIe siècle.
 
 
 
 
 
Dans le cœur, sur le mur côté nord nous voyons les armoiries du pape Léon XIII
 
 
 
 
 
 
 
 
Pape Léon XIII  en exercice de 1878 à 1903  sa devise : Lumen in coelo (Lumière dans le ciel)
 
Les attribues des armoiries papales sont la tiare aux trois couronnes et deux clés, argent et or, elles symbolisent les pouvoirs spirituels et temporels des papes.
 
Sur le mur du sud nous avons  les armes de l’évêque Jacques-Théodore de La Marche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
L’évêque du Quimper  Mgr Jacques-Théodore La Marche est en exercice de 1887  à 1892, son cri : Doue hag ar vro (Dieu et patrie) sa devise : Ama et confide (L'amour et la confiance) Les attribues des évêques sont : le chapeau avec cordelière terminée par des glands ou houppes (nombre en fonction de son rang dans la hiérarchie)  la croix, la mitre et la crosse.
 
La présence de ces deux armoiries est probablement liée à des travaux importants effectués  entre 1887 et 1892. C’était une façon courante de clore des travaux et de les dater.
 
 
 
 
Des écussons disparus mais ayant existés dans les vitraux
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Les croix de consécration
 
 
Dans la religion catholique, on appelle croix de consécration chacune des douze figures en forme de croix qui sont disposées à l'intérieur d'une église lors de la cérémonie de consécration. Ces croix peuvent être peintes, appliquées, gravées ou sculptées sur leurs supports (murs, piliers, colonnes). C'est à l'évêque du lieu que revient le rôle de donner l'onction du saint chrême
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Un blason dans le mur du restaurant « Jardin de l’Aber »
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Il est bien difficile de donner une identité à cet écusson, d’où vient-il ? Quelle famille représente-t-il : Du Chastel, de Kergroadez, de Coëtivy ou de  Keroulas ? La question trouve sa réponse dans un détail du ruban ayant porté la devise, nous voyons la lettre M gothique, hors la seule devise connue des quatre familles citées et commençant par un M appartient à Du Chastel qui est : MAR CAR DOUE.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le manoir de Belair
 
 
Il n’y a pas d’écusson visible au manoir de Belair, toutefois,  il existe dans la cour un cartouche à la gloire  du François de Kerangarz, fondateur de ce lieu.
 
 
Les armoiries ci-dessous existaient sur le moulin de Belair, elles sont déplacées et scellées  au manoir de Rumorvan en Lanildut
 
 
 
C’est un écusson, écartelé est l’alliance en 1652 de Jacques de Kerangarz de Belair (les croissants) avec Gillette Marie de Penmarc'h (la tête de cheval et les trois merlettes)
 
Nota : En langage héraldique, les merlettes symbolisent les petits oiseaux, c’est la forme ancienne de représenter les colombes, les pies, petites poules, canettes…
 
 
Le manoir de Brescanvel
 
 
 
 
Ce lieu possède deux pierres armoriées aux armes de la famille Le Roux, fondatrice du manoir de Brescanvel, que nous datons de la deuxième moitié du XVIe siècle. La première pierre armoriée est scellée dans le mur de la chapelle, il s’agit d’un écartelé entouré d’un cordon, aux armes de  Claude Le Roux blasonnant : écartelé d’argent et de gueules (rouge), avec un lambel en chef ; et son épouse Marie de Corpel, blasonnant : d’argent aux trois piverts de sinople (Vert) ; mariés  vers 1580.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Les Le Roux  était fondateur du manoir de Brescanvel, Claude Le Roux était issu d’une branche cadette d’où la présence d’un lambel    sur ses armes.
 
 
La seconde pierre armoriée se situe dans le prolongement du mur mais presque au niveau du toit, elle est en kersanton elle présente un ensemble d’armoiries contenues dans un cercle bordé d’une inscription difficilement lisible,  une partie étant détruite, nous pouvons toutefois lire ce qui ressemble à un fragment de devise dont deux mots entiers « MOINS - PROMETRE ».
 
 
 
 
 
 
Cet ensemble que nous nommons pennon entouré d’une devise est une généalogie sur quatre générations du fondateur du manoir de Brescanvel qui est Yves Le Roux.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La famille Le Roux de Brescanvel a pour origine la paroisse de Cavan en Trégor. Les alliances sculptées sur cette pierre sont : Yvon Le Roux marié vers 1450 à Jeanne Renard alias Regnard (Repère 2), d’azur au renard d’or. Un Sylvestre Le Louarn (Renard en breton) est cité à la « Montre » de Tréguier en 1481 parmi les 38 nobles de Quemper-Guézennec.
 
Leur fils ainé Prigent est marié vers 1475 à Jeanne de Kerleau  (Repère 1) originaire de Pleubihan en Trégor, blasonne d’azur au cerf d’or.
 
Leur fils ainé Jean,  épouse Aliette du Cosquer en 1501 (Repère : 3) le blason n’est pas répertorié dans les armoriaux, toutefois les besants lui sont attribués d’office, les autres armes ne faisant aucun doute.
 
Le fils ayant commandé l’œuvre, est Yves, époux vers 1550 de Jeanne Ranoux (Rannou), famille originaire du manoir de Pratmeur en Ploudalmézeau. Ses armes sont connues grâce à un procès verbal de prééminences de l’église de Ploudalmézeau en 1762, c’est un écartelé, en 1 et 3 : losangé d’argent et de sable (noir) qui est Rannou ; en 3 et 4 : de gueules (rouge) au chevron d’argent accompagnée de 3 trèfles de même qui est Pratmeur.
 
 
Et sur le tout au centre sont placées les couleurs des Le Roux de Brescanvel.
 
 
Source : Catalogue généalogique de la noblesse bretonne. Éric LORANT
 
 
 
La devise proposée semblant cohérente, reconstruite à partir des éléments lisibles en tenant compte des espaces manquants, est celle-ci :
 
 
SAVOIR TENIR – MOINS – PROMETRE – FAICT LA FOY
 
 
Savoir (bien) tenir, moins promettre, fait la foi (confiance)
 
 
Cette devise gravée il y a bientôt 425 ans est toujours d’actualité.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Extrait de la généalogie de  LE ROUX de Brescanvel
 
 
 
 
Geffroy
 
x vers 1425
 
Jeanne de Coëtgoureden
 
 
 
 
*
 
Yvon *
 
x vers 1450
 
Jeanne Renard alias Regnard
 
 
 
 
Prigent
 
*
 
x vers 1475
 
*
 
Jeanne de Kerleau
 
 
 
*
 
*
 
 
Jean
 
x en 1501
 
Aliette du Cosquer
 
 
 
 
 
 
(ainé) Prigent *
 
(cadet) Yves *
 
 
x 1547 x vers 1550
 
Madeleine de Bellisle Jeanne Ranoux
 
(Rannou de Pratmeur)
 
 
 
 
 
 
 
Claude
 
x vers 1580
 
Marie Corpel
 
 
* Sont réunis dans un même écusson aux multiples  armoiries dit  « penon », le mari et l’épouse, les parents, grands parents et arrières grands parents d’Yves Le Roux.
 
 
 
 
Le manoir de Keroulas
 
 
Aucun blason n’est visible, d’après Madame de Lorgeril, autrefois, ce bâtiment n’était pas considéré comme manoir, mais maison de chasse.
 
 
Château de Kergroadez
 
 
Ce château daté de 1613, fut construit près de l’ancien manoir. Les écussons sont rares, ils furent déscéllés de leurs emplacements avant la révolution lorsque le domaine est passé à la famille de Roquelaure. Certaines pierres  armoriées furent retrouvées à Saint-Renan, toutefois la Révolution étant passée par là, elles furent soigneusement bouchardées. Certaines retrouvèrent leur place grâce à Jos Saliou, directeur du  Musée du Ponant.
 
 
Cet ensemble armorié placé sur le parapet au-dessus des portes donnant accès à la cour, accueille le visiteur du château. La partie la  plus importante pour l’identification du propriétaire se trouve au centre elle est entourée d’une cordelière nouée dite « lacs d’amour ».  (Prononcer « las d’amour» la corde étant aussi un lacet)
 
Les motifs en relief sont  détruits, la pierre semble lisse mais en l’examinant attentivement nous pouvons les deviner et les retracer.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Ainsi nous pouvons reconstituer le blason de François III de Kergroadez en alliance en 1599 avec sa seconde épouse Gillette Quélen portant les armes : burelé de dix pièces d’argent et de gueules.
 
 
 
 
Aspect que pouvait avoir cet ensemble lors de sa mise en place vers 1600
 
Quand nous entrons dans la cour, côté ouest au dessus de la porte d’accès à l’escalier conduisant à la chapelle, nous observons les restes d’un écusson ayant subi les mêmes violences de la Révolution, toutefois nous pouvons le reconstituer.
 
 
Il s’agit d’un écusson de François IV de Kergroadez,  chevalier de l'Ordre du Roy et de la Milice  Chrétienne.
 
 
 
Nous montons l’escalier de la chapelle pour observer les armoiries de vitrail, il s’agit d’une généalogie du lieu, c’est à dire la liste des personnages ayant vécus au château
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dans le château
 
 
Dans le château, il reste la pierre armoriée, mais mutilée,  des premières noces de François III de Kergroadez avec Claude Kerlec’h du Chastel en 1591
 
 
 
 
Cette pierre fut placée une première  fois sur l’ancien manoir et ensuite sur le château, au-dessus de la première lucarne, cette place de convenant pas, une adaptation fut faite au-dessus de la seconde lucarne pour la recevoir. Cet emplacement étant une place d’honneur au dessus de l’entrée principale du logis, elle rendait hommage à la première Dame héritière de Kerlec’h.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
À gauche, cliché de 1903. Sur la 2e lucarne, le blason a disparu
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dans le foyer d’une cheminée nous pouvons admirer une magnifique plaque de cheminée portant les armoiries de l’évêque Claude de Rebé
 
 
 
Les pierres de Traon-Gall
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Cette œuvre n’est pas une pierre armoriée, elle n’est pas commune et mérite que nous nous y intéressions.
 
D’après  Paul-François Broucke1, cette pierre est caractéristique du style 1600-1650, d’influence  gréco-romaine, par ses barres verticales (Triglyphes) et la partie centrale destinée à recevoir les motifs ornementaux (Métopes),  art très la mode à partir de la Renaissance.  Elle  proviendrait d’un édifice comprenant plusieurs de ces pierres. Il pense à un ossuaire ou une chapelle déconstruite, quant à la date de 1769, le style des chiffres peut indiquer que la pierre fut remployée lors de la construction d’une maison comme décoration au-dessus d’une porte principale.
 
Donc, par principe cette pierre n’est pas seule, mais où sont les autres ? Celle-ci, une fois retournée, servait de pierre de lavoir, peut-être faut-il chercher dans cette direction pour trouver les autres ?
 
 
Il n’est pas certain que cette pierre soit de Brélès, est-elle arrivée là un peu par hasard dû au métier exercé par l’ancien résident du lieu ? Dans ce cas les chances sont minces d’en rencontrer d’autres sur la commune.
 
 
L’écu scellé dans le mur de clôture de Traon-Gall en Brélès
 
 
 
 
Cet écu n’a jamais été sculpté, mais probablement peint, il provient soit d’un enfeu ou d’une porte de chapelle ou de manoir. Il était placé comme sur la photo montage ci-dessous.
 
(Les couleurs et le motif ne sont là que pour la compréhension)
 
 
 
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1 – BROUCKE Paul-François – Les prééminences héraldiques de la cathédrale de Quimper – UBO Master 1 - année 2010
 
La cathédrale de Saint-Pol de Léon : Le chantier des parties orientales du XIe au XVIe siècle – UBO Master 2 – année 2012
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Emplacement de l’écusson sur ce type de structure architecturale.
 
 
 
 
 
Vous possédez des vieux écussons, mêmes martelés, usés par le temps et difficilement identifiables, sachez qu’il est souvent possible de redonner une identité et une histoire à ces pierres oubliées. 
 
 
Contact : michel1.mauguin@orange.fr
 
Contact : michel1.mauguin@orange.fr

Version du 31 mars 2018 à 21:34

Brélès était une trève de la paroisse de Plourin elle ne devient commune qu’en 1791. Dans l’enclos paroissial, nous devons nous diriger vers la face ouest de l’église, au-dessus de la porte se trouve un magnifique écusson d’alliance en pierre de Kersanton, que nous attribuons à Olivier du Chastel et son épouse Jeanne de Ploeuc, marié en 1408, ces éléments datent de la construction de la chapelle de fin XIVe début XIVe siècle.

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