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Révision datée du 12 janvier 2014 à 15:03 par Cat (discussion | contributions) (Roger RANNOU)

Témoignages de bénévoles sur leur activité au PL Guérin

Voici des témoignages de bénévoles du PL Guérin recueillis en 2013 à l'occasion des 80 ans du PL Guérin.

Laurent Laurier

Laurent devant l'une de ses créations

Laurent Laurier, âgé de 41 ans en 2013 est dessinateur – illustrateur. Il réside actuellement à Brest, dans le secteur de la rue de Siam.

Laurent est arrivé au PL Guérin en 2001. Jeune illustrateur, il cherchait à faire des affiches pour des événements et pour se faire connaître. « De fil en aiguille », il s'est retrouvé animateur bénévole d'un atelier et de stages de création de Bandes-Dessinées. Après 12 ans d'animation il est toujours au PL et anime des stages de BD, de films d'animation avec Thomas, animateur au Pl Guérin. Il anime tous les mercredis un atelier de Cartes Magic.

« Je suis tombé sous le charme de cette structure. Je trouve que l'ambiance est sympa et que l'équipe est accueillante. J'apprécie particulièrement les apéros et les cacahuètes... c'est convivial. Au PL, j'aime les rapports humains. On ne se prend pas la tête. Par contre, il m'arrive parfois de partager la salle où j'ai l'habitude de travailler, ce qui peut gêner un peu mon activité. Aussi, j'aimerai augmenter le budget pour mon activité, l'objectif étant de réaliser 15€ de budget par tournoi en 2015".

entretien réalisé par Bruno Ménager

Paulette Ferrec

Agée de 79 ans, cette retraitée habite le quartier Saint-Martin depuis 2000.

Habitant à proximité du PL Guérin, elle participe dès 2000 aux repas et aux apéritifs pour rencontrer de nouvelles connaissances.

Elle s'implique dans le soutien scolaire depuis 2005 ; Paulette apprécie le contact des enfants. Dans la rue, elle retrouve souvent des anciens élèves qui la reconnaissent. Mais, pour certains, elle les voudrait parfois un peu plus disciplinés et respectueux envers les personnes de grand âge.

Paulette cultive aussi des légumes dans le carré suspendu du jardin partagé appelé p'tit jardin d'Guérin.

entretien réalisé par Jean-Michel Le Gendre

Roger RANNOU

Roger alias Monsieur Statut

Roger a 78 ans, est retraité des Administrations Financières et habite le quartier Saint-Martin. Son papa, François Rannou, a été président du patronage dans les années 50.

Roger devient Adhérent de la section Football du patronage en 1949, qu’il a connu par l’intermédiaire de ses copains (il jouait avant à l’A.S.Brestoise). Il y restera jusqu’en 1956, année de son départ au service militaire.

Roger, un pilier de la section Football :

c’est en 1970 que Roger s’investit en tant que Bénévole au PL. Il commence par relancer la section football jeunes, avec d’autres parents bénévoles comme lui. Il sera alors nommé Président de cette section. Le mercredi, il entraine les jeunes au stade de l’Avenue Foch ou au Petit Kerzu et le samedi, il accompagne les équipes lors des matchs. En 1972, c’est le redémarrage de la section football adultes. En 1978, Roger suit, pour le patronage, une formation « capacitaire en arbitrage ».

Dès le début des années 70 et jusqu’en 1980, il devient administrateur du patronage et c’est le référent des questions administratives. Il fut un temps secrétaire du conseil d’administration. A cette même époque, il est également trésorier de la SPLM (Société des Patronages Laiques Municipaux).

De 1980 à 2003, il n’est plus bénévole au PL mais continue cependant à œuvrer pour la structure lors de la Foire aux Croûtes et des Fêtes Nautiques. Durant cette même période, il sera adhérent du Club Loisirs du patronage.

2003, LE RETOUR en tant que bénévole pour préparer les 70 ans du Patronage.

De 2004 à 2010, Roger revient au conseil d’administration où il s’occupe principalement des archives. Il met en place la section « Randonnée » dont il devient le responsable.

Même si aujourd’hui il n’est plus administrateur, Roger reste investi et proche du patronage. Il répond toujours présent dès que l’on a besoin de lui. Pour preuve, depuis maintenant 3 ans, tous les mercredis et samedis, il enfile sa tenue de sport pour seconder Guy Salou auprès des jeunes basketteurs du PL.

Roger a toujours aimé l’ambiance, la convivialité, les valeurs défendues de la « Grande Famille » du PL Guérin. Ancien syndicaliste, puis mutualiste, son investissement dans une structure d’Education Populaire comme la nôtre ne pouvait que lui convenir.

Pour lui, le patronage GUERIN restera toujours dans un coin de sa tête, c’est une association que l’on ne peut définitivement quitter et oublier.

Une anecdote qui me revient concernant Roger administrateur du PL : à chaque réunion du conseil d’administration, son idée fixe était : les statuts du PL et le tiers-sortant à l’assemblée générale. Il ne se passait pas une réunion sans qu’il nous sorte de sa besace les fameux statuts, au grand dam du reste des administrateurs. Comme nous étions un peu taquins, s’il lui arrivait d’oublier d'en faire référence, il y avait toujours l’un d’entre nous pour le relancer sur le sujet. Et Roger, « bon client » se lançait dans un monologue sur ceux-ci, ignorant les rires qui fusaient dans la salle…..

 ROGER, tu es et resteras pour le patronage Guérin LE « MONSIEUR STATUTS »

entretien réalisé par Ghislaine Rioual

Yvette MASSON

Yvette a 75 ans et est bénévole à l’atelier Poterie.

" Petite fille, j’ai le privilège de passer de longues journées dans une propriété peu ordinaire: une halte de chevaux ayant appartenu à des seigneurs morlaisiens.

Paradis hors du temps, caché derrière une haute clôture de pierres et dont la terre explosait en verdure. Fleurs et fruitiers envahissaient tous les dédales et escaladaient les murs ensoleillés.

Surgissait de cette profusion labyrinthique une belle bâtisse, en pierres taillées qu formaient aussi en intérieur, les cheminées, l’escalier, le tunnel souterrain, en extérieur les auges dont l’une circulaire, dominante et magnifique, creusée dans un seul bloc et montée sur un morceau de roche à hauteur de chevaux, était garnie dès le printemps d’une mosaïque de petites fleurs rases, de couleurs vives : sensations inoubliables. Un oncle artiste jardinier, était devenu propriétaire de ce domaine, je ne sais comment, il y a vécu dans la pauvreté, l’art des jardins était peu reconnu dans ces années-là.

Mon lieu de vie était tout autre, dans le vieux Morlaix, une rue où se réfugiaient ouvriers peu argentés, et petits commerçants, mais aussi un antiquaire, qui dans une remise profonde sombre et toute poussière, avait accumulé d’anciennes statues de saints, non reconnues par Rome après Vatican II.

Pauvre parmi les pauvres, mon âme enfantine ne tarde pas à saisir certains rouages de cette société et la révolte prend naissance ….

Mais face aux difficultés, une lueur, l’école, l’Ecole Laïque, et la rencontre d’une merveilleuse institutrice, artiste comédienne, vêtue à la gitane, qui donna à mes parents, l’idée impensable de me faire poursuivre des études au lycée.

Le goût de la peinture et du dessin s’est confirmé.

La rencontre avec l’argile, elle s’est faite lors d’un séjour en colonie de vacances, en tant que monitrice, dans un lieu idéal, non seulement pour pratiquer la poterie, mais aussi pour s’initier à la construction de four, en pleine nature, ainsi qu’à la cuisson au feu de bois ; le lieu, les Alpes.

Années 60 – Rennes : travail, mariage, enfants.

Lors d’un congé parental, je découvre la Maison des Jeunes et de la Culture, toute nouvelle, et son atelier de modelage. C’est là que les premières statuettes prennent forme.

1976 – Brest

Beaucoup de doute et d’hésitation, quand je me suis retrouvée à la porte des Beaux Arts, pour des cours du soir ! Le pas est fait !! Intéressant pour la pratique de modelage et des moulages en plâtre …. Mais il manque le jeu des couleurs. C’est alors que le Patronage Laïque Guérin se trouve sur mon chemin et son atelier de poterie. On est en 1985 environ, depuis je crois qu’il me colle à la peau.

Laïcité …. C’est un mot qui m’a toujours attiré, une de mes rencontres sociologiques et philosophiques les plus fortes, d’ailleurs il me souvient que ma première question posée au CA du patronage fût : « qu’est ce que la laïcité ».

L’accueil est sympathique et la parole libre. La structure de l’association convient bien à ma manière d’être.

L’atelier est une petite salle où peuvent prendre place 6 à 7 personnes et où un grand four électrique s’impose déjà ! Elément indispensable pour l’évolution de l’argile vers l’émaillage à base de colorants et de silice dont les effets sont infinis.

Je deviens l’animatrice bénévole faute de postulants, sans doute ! La céramique ‘na pas le succès actuel.

L’atelier de poterie est toujours ainsi nommé, mais si les petits pots et les grands font toujours partie de nos objectifs, le modelage spontané ou réaliste est aussi le bienvenu.

Le goût de la terre, le jeu de la sensibilité manuelle et de la volonté créatrice, le mystère des réactions chimiques des différents éléments à la chaleur du four demandent de la patience …aux limites de la sagesse.

Dans la recherche de l’émotion partagée et de l’enrichissement dans l’expérience, nous rejoignons les tâtonnements et les réussites des civilisations qui depuis la nuit des temps ont voulu traduire dans cet art de la métamorphose, leurs vies et leurs aspirations matérielles et spirituelles.

Retour au petit atelier !!

Les équipes se sont succédées, apportant chacune ses richesses de communications et de réalisations.

En 2006, à Brest une manifestation exceptionnelle, sous l’appellation « Terres de feu » est venue enrichir la connaissance de la céramique dans son expression artistique par l’accueil de 40 céramistes contemporains de France durant la période du 22 mars au 27 août de l’année. Un four à bois, installé place Wilson sous la responsabilité d’une potière de St-Sauveur, Gaëlle Braubmann, offre la possibilité aux établissements scolaires et artistiques, et aux potiers, de bénéficier de cuissons de leurs réalisations d’argile ou de grés. Bien sûr, notre équipe s’est sentie concernée,et Gaëlle l’a accueillie au-delà de tout espoir, dans la participation à la construction du four, aux cuissons successives, quelle effervescence et quelle chaleur !

Les potiers et leur convivialité ! Extraordinaire !

Depuis tous les ans, nous nous rendons chez Mannick et Jean-Luc à Plougerneau pour une journée de cuisson au Raku, technique japonaise à l’enfumage organisée d’une main de maître par nos amis potiers. Soleil assuré … effets métallisés étonnants.

Parfois, j’ai la vague impression d’apporter un minuscule grain de sable dans la transmission de l’esprit des pionniers des patronages laïques d’après guerre, développé sous la forte participation des instituteurs et des ouvriers soutenant les valeurs de laïcité, citoyenneté et de solidarité.

Actuellement, les nouvelles technologies permettent une accélération de la circulation des idées et des populations dans le monde. Les sociétés s’interpénétrent sur cette sphère perdue dans l’espace, la laïcité par ses principes de tolérance et de partage de connaissances n’a pas perdu de sa force d’idéal pour la recherche d’un équilibre vital dans la communauté humaine."

Robert Carn

"J’aime beaucoup les sorties et je m’investis dans leur organisation. Je suis devenu administrateur parce que je trouve l’ambiance agréable. Je suis aussi bénévole du réseau voisinage, cela me permet de rencontrer plein de monde ! Mais je regrette qu’il n’y ait pas assez de volontaires pour faire vivre le réseau."

sullyvan Yonnet

Mes parents sont impliqués dans l’association et j’aime l’ambiance et la diversité des gens qu’on y rencontre. J’ai adoré le repas de fin d’année avec l’équipe d’animation. On a joué toute la nuit ! Je suis bénévole sur des festivités comme à la foire aux croûtes ou le Festigeek. Et je suis en train de passer mon BAFA.

entretien réalisé par Thomas Liziard

Jean-Claude Dekoninck

responsable section badminton.

Jean-Claude a 53 ans, est mécanicien, père de famille et grand-père. Il est arrivé à Brest en 1979 et sur le quartier de St Martin en 1984.

Il a commencé à fréquenter le PL en 1992 environ qd son fils avait 6 ou 7 ans. En tant que parent, il accompagnait les animateurs du PL pour les déplacements de basket et pour les camps. Eliane qui était à l’époque présidente lui a proposé de rentrer au bureau mais dans un premier temps il ne voyait pas trop ce qu’il pouvait apporter.

Il s’est ensuite inscrit à l’activité badminton qui était animée par David. Au départ de ce dernier (en ? il ne se souvient plus de la date) il a proposé d’animer la section badminton. Deux des praticants, son épouse Christine et René prennent le relais qd JC est en déplacements professionnels.

Pour JC le bénévolat répond à un besoin d’aller vers les autres. ‘ambiance du PL lui a plu. Son engagement s’est fait progressivement.

« Le bénévolat, c’est donner quelque chose aux autres : ça leurs fait du bien et ça me fait du bien »

La notion de bénévolat est très importante pour lui. Il a le sentiment que de nombreux utilisateurs n’ont pas conscience de la quantité de bénévolat qu’il y a derrière.

Ce qui lui plait aussi : lePL est une association qui rayonne sur le quartier, qui regroupe une grande diversité de personnes. JC pense qu’il faut accentuer le rapprochement avec l’école Guérin.

Le point faible du PL : sa localisation dans le quartier. Ses craintes pour l’avenir : que le PL , du fait de son agrandissement devienne trop professionnel et ne fasse pas assez de place aux bénévoles dans les décisions à prendre. Les prises de décisions importantes sont-elles tj collégiales ? Lorsque des bénévoles quittent le conseil d’administration, cherche-t-on réellement à en connaître les raisons.

entretien réalisé par Chantal Kérandel

Marie Claire MENGUY

70 ans, anime depuis plusieurs années, l' atelier broderie (tricot, crochet...) les mardis et jeudis après-midi, de 14h a 16h30

LA BRODEUSE DU PLG

Installés à Kérinou,Marie-Claire et Jo inscrivent, en 1972, leur fils Régis au PL Guérin, encore en baraques... Régis puis Philippe, pratiqueront le foot (dont une équipe sera entrainée par Jo) Plus tard, Catherine et Sébastien opteront pour le basket

Issue d'une famille nombreuse comptant déja des bénévoles, Marie-Claire s'est tout naturellement investie dans la structure acceuillant ses enfants. Dans les années 80, elle accompagne les séjours jeunes: à Pont Coblan, Belle Ile, Botmeur, Léchiagat... Elle en garde d'excellents souvenirs, et quelques anecdoctes refont surface: - l'enlisement de Sébastien à l'Ile Chevalier: les bottes de son fils restant plantées dans la vase. - L' art de la débrouille, lors du stage équitation à Ploudalmzeau: des bouteilles de bière faisant fonction de rouleaux la poterie...

En 1989, à 46 ans , Marie-Claire passe son BAFA. Dans les années 90, elle anime l'atelier poterie au centre de loisirs, accompagne des groupes d'enfants de la maternelle Bugeaud... etc...

Enfin Marie-Claire entre au conseil d'administration, et prend la responsabilité de l'atelier broderie Elle apprécie de sortir de chez elle et d'échanger avec des personnes de tous ages, dans une atmosphère agréable et conviviale (musique et café sont au programme)

Modeste et timide, Marie-Claire a pris de l'assurance.

Seul bémol à l'activité: la salle est très passante et doit parfois être partagée avec d'autres adhérents, faute de locaux...

Cela n'entame pas la bonne humeur de Marie-Claire qui a su, au fil des années, évoluer et trouver sa place au sein du PL Guérin.

entretien réalisé par Marie-Thérèse Cardinal

Ghislaine Rioual

administratrice au PL Guérin

Ghislaine intègre le PL Guérin dans les années 70. "A l'époque, j'avais 12 ans et j'habitais Bellevue. C'est grâce à une copine que j'ai commencé le basket au patro. Je me plaisais car il n'y avait pas de réelle compétition et tout le monde pouvait particper, peu importe son niveau. On se connaissait tous, on avait l'habitude de camper ensemble (Belle-ile...) . Je me souviens qu'on a même fait de l'escalade à Châteauneuf du Faou. Le patro était un lieu de rendez-vous familial et convivial pour les jeunes.


Dans les années 70, le C A était composé de jeunes, de membres de chacune des sections du patro, d'élus de la ville et d'instituteurs des écoles du quartier. Les réunions étaient souvent très animées et sujettes à débats. Les principaux combats étaient :

- l'agrandissement du patro

- l'obtention de subvention pour embaucher du personnel

- la défense des valeurs laïques

Dès 18 ans, j'ai fait partie du Conseil d'Administration. Il drainait beaucoup de jeunes, à qui on confiait déjà des responsabilités. Il faut dire qu'il n'y avait aucun salarié et qu'il y avait donc toujours des choses faire ! Eliane Pibouleau, la présidente du PL Guérin, nous donnait rapidement des responsabilités et les talents de chacun était mis au service de l'association. Dès qu'elle repérait des talents d'un adhérent, elle lui poposait d'animer une activité, auprès des nefants ou pour les adultes.

À l'age adulte, je me suis investie comme secrétaire bénévole et dans l'animation auprès des enfants, tout en restant administratrice.

L'arrivée du 1er permanent a marqué un tournant douloureux pour certains bénévoles. Le fait de payer quelqu'un pour les loisirs n'était pas dans les moeurs. Le 1er permanent fut Eric Gérard, suivi de Jean-Philippe Dafniet. Bruno Ménager arrive en 1998.

Cet engagement m'est venu naturellement car j'avais dans ma famille un grand-père syndicaliste et communiste, des parents engagés dans l'Association des Parents d'élèves... On parlait de politique à la maison. Je suis fière d'avoir transmis cela à mes enfants, qui aujourd'hui s'investissent aussi dans des associations. "

Même si je n'habite pas le quartier et ne pratique plus d'activités au PL, je reste attachée à l'association, qui s'efforce d'accueillir tout le monde en pratiquant une politique tarifaire adaptée à chacun. C'est le fil conducteur du patro depuis ses origines et je suis fière qu'on perdure la tradition aujourd'hui. C'est grâce aux nombreux bénévoles du PL qu'on arrive encore aujourd'hui à proposer des activités à bas coût.

Aujourd'hui, je regrette que les adhérents ne connaisssent pas mieux le fonctionnement de l'association. Il n'y a plus de jeunes dans le conseil d'administration et de moins en moins de représentants des différentes sections. Je pense que c'est lié à l'accroissement de l'activité et à la perte du militantisme. Les adhérents sont de plus en plus des personnes consommatrices d'activités, sans engagement dans l'association.

entretien réalisé par Catherine Diallo, le 13 septembre 2013

                                                               HalleStMartin002.jpg       Portail du quartier de Saint-Martin                                                                            
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