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| − | ===Gaston De l'hôpital, autrefois maire===
| + | #REDIRECT [[Gaston de l'Hôpital]] |
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| − | Landernéen de souche, GasÂton de L'hôpital fut maire de Landerneau de 1911 à 1919 et conseiller général pendant l'entre-deux guerres.
| + | {{DEFAULTSORT:De l'Hôpital}} |
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| − | «M. de L'Hôpital sous un abord discret, cachait un cœur d'or qui lui valait d'être généreux, tolérant et bienveillant. Sa serviabilité proÂverbiale, jointe à sa jovialité dans la conversation qu'il rendait imagée et spirituelle, attirait vers lui tous ceux qui avaient besoin d'un conseil éclairé, voire même de paroles de réconfort.» C'est ainsi que Jean-Louis Rolland, rendit un dernier hommage à Gaston de L'Hôpital de Salignac Fénelon, qui l'avait précédé, des années plus tôt, à la mairie de Landerneau.
| + | [[Catégorie:Rue de Landerneau]] |
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| − | Né en 1872, Gaston de l'Hôpital quitte sa pointe bretonne natale pour Paris, juste le temps de décrocher un doctorat de droit sur «L'assurance contre les accidents du travail en Allemagne».
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| − | Revenu définitivement à LanÂderneau, au manoir de Bel-Air, Gaston de L'hôpital s'installe comÂme agent général des compagnies d'assurances.
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| − | C'est en 1904 qu'il met un pied dans la politique, devenant conseiller municipal de Landerneau. En 1911, il est élu maire et il occupera cette fonction tout au long de la première guerÂre mondiale. «Ses initiatives harÂdies, généreuses et humaines en faveur des familles des mobilisés, des réfugiés et des veuves furent particulièrement appréciées.» En 1913, il est élu conseiller généÂral. La même année, il tente la députation, désigné par le parti libéral. Mais au terme d'une campagne mouvementée, il échoue face au candidat du parti républicain Paul Simon, conseiller municipal de Brest, lui aussi canÂdidat catholique déclaré.
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| − | La guerre passée, Gaston de L'Hôpital abandonne son mandat de maire mais conserve celui de conseiller général. Jusqu'en 1933, date à laquelle il se retire pour raison de santé, mais est remplacé par son fils Bertrand. «Puis ce fut la guerre, raconta M. Boucher, conseiller général en même temps que Gaston de l'Hôpital. En 1940 un deuil particulièrement doulouÂreux vint l'accabler et lui imposa de nouvelles et lourdes responsabilités. Il accepta cette épreuÂve avec courage et résignation, ayant toujours estimé que les sacrifices exigés par le devoir et l'honneur, doivent être placés au dessus-de toute autre préoccupation.
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| − | [[Catégorie:Rue de Landerneau|Hopital]] | |
