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Registres paroissiaux aux archives de Landerneau

Les registres paroissiaux de la ville de Landerneau par Célia, Enora et Lucie, 2B, Lycée de l'Elorn, en collaboration avec les Archives de Landerneau.

Aux XVIème et XVIIème siècles, on n'existe qu'à travers la religion : puisque tout le monde est baptisé, les registres paroissiaux nous renseignent sur la population de l'époque.

Plan de la ville

La ville est partagée en trois paroisses qui tiennent chacune leurs propres registres : les paroisses de St Julien (H), celle de St Houardon (E) et celle de St Thomas (L).

Les registres paroissiaux

Le premier registre conservé par les archives date de 1527. C'est un des plus vieux registre du Finistère.

Le 10 août 1539, l'édit de Villers-Cotteret institue le français comme langue officielle du royaume. La tenue de registres de baptêmes et de sépultures va devenir obligatoire. Ils sont rédigés à la plume par les prêtres. Les noms les plus courants sont ceux contenant la particule Marie (tel que Marie-Jaquettte ou Pierre-Marie) en référence à la Vierge Marie afin de porter bonheur à l'enfant.

A cette époque, tout le monde ne sait pas écrire. Les gens demandent donc à ce qu'on leur fasse un modèle de signature qu'ils recopieront et utiliseront toute leur vie. On voit donc de grosses différences dans l'apparence des signatures.

Signature d'après modèle
Signature d'une personne lettrée


Après la révolution française, ces registres seront remplacés par d'autres registres tenus par la mairie : c'est la naissance de l'état-civil.

Voir aussi

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