Domaines
Communes
Quartiers de Brest
Espaces de noms

Variantes
Actions
De Wiki-Brest

Portail:Femmes au Pays de Brest/Portraits : Différence entre versions

(ici autres portraits)
m (Remplacement du texte — « †» par « " »)
 
(17 révisions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
===Marie-Louise MARC===
+
'''Travail, action sociale, loisirs et surtout famille et santé : les fonds des Archives gardent trace des femmes à travers leur vie quotidienne.'''
  
[[Image:Expo-un tour à Lambé5.jpg|thumb|left|Tableau de l'exposition de février 2008]]
+
[[Fichier:1FI00158Maison mater 14F723.JPG|right|200px|Maison maternelle de Saint Marc 1928]]
 
 
'''Malou MARC''' est née en 1948 à Saint-Renan où elle a vécu jusqu'à l'âge de 10 ans. Puis sa famille a déménagé pour venir habiter à Lambé. Malou y est restée jusqu'à son mariage. En 1978, le couple a construit au nord de Lambé, à Keramoal, sur la commune de Milizac mais Malou vient régulièrement faire '''"un petit tour à Lambé"''', faire ses courses, voir sa famille!
 
 
 
Elle a toujours aimé peindre ou pratiquer des activités manuelles. Elle a eu l'occasion, au gré des mutations de son époux, de vivre dans d'autres régions de France. Mais elle est restée fortement attachée à sa Bretagne natale, où elle revenait tous les ans en vacances, très exactement à Portsall. C'est pendant ces périodes de vacances qu'elle a recommencé à peindre, ce qui explique le ciel bleu et les scènes estivales de ses premiers tableaux.
 
 
 
N'ayant reçu aucun formation particulière aux Beaux-Arts, '''elle peint comme elle le sent avec une technique facilement maîtrisable (dit-elle!), la gouache'''. Et les encadrements de ses tableaux sont l'oeuvre de son époux, Charles...'''''[[Marie-Louise MARC|Lire la suite]]'''''
 
  
  
 +
Elles transmettent une image de la bourgeoisie du XIXè où les femmes s'occupent de sociétés de bienfaisance comme la ''"société de charité maternelle"'', création impériale de 1810 dont le but, à Paris comme en province, est ''"d'encourager la bienfaisance publique envers les mères indigentes, de les placer sous une protection auguste et spéciale"''.
 +
C'est l'œuvre charitable [[brest]]oise la plus importante de cette époque. Les membres bienfaiteurs, exclusivement féminins, versent 500 francs par an. On y trouve les épouses des négociants de la ville : Riou-Kerhallet, Kerros, Trischler, Stears, Bérubé, Chevillotte et celles d'édiles brestois : Bizet, [[Léocadie Salaun-Penquer, femme de lettres|Penquer]], Delobeau.
 +
Les femmes sont aussi présentes dans des sociétés liées au redressement des mœurs telles ''"L'œuvre du Refuge"'', fondée en 1827, pour les filles repenties ou en danger de prostitution ; cette œuvre affirme qu'elle souhaite offrir ''"une assise aux personnes qui veulent se retirer du vice"''....'''''[[Femmes de Brest dans les Archives municipales et communautaires|Lire la suite]]'''''
  
 +
<center>
 
<div style="width:50%; text-align:center; padding:.2em; border: 2px solid #0640b8;background-color:#fff3f3" class="plainlinks">
 
<div style="width:50%; text-align:center; padding:.2em; border: 2px solid #0640b8;background-color:#fff3f3" class="plainlinks">
 
Retrouvez '''[[:Catégorie:Portrait de femme|ici]]''' les autres portraits.
 
Retrouvez '''[[:Catégorie:Portrait de femme|ici]]''' les autres portraits.
</div>
+
</div></center>
 +
 
 +
<noinclude>
 +
[[Catégorie:Portail:Femmes au Pays de Brest]]
 +
</noinclude>

Version actuelle datée du 13 octobre 2014 à 14:07

Travail, action sociale, loisirs et surtout famille et santé : les fonds des Archives gardent trace des femmes à travers leur vie quotidienne.

Maison maternelle de Saint Marc 1928


Elles transmettent une image de la bourgeoisie du XIXè où les femmes s'occupent de sociétés de bienfaisance comme la "société de charité maternelle", création impériale de 1810 dont le but, à Paris comme en province, est "d'encourager la bienfaisance publique envers les mères indigentes, de les placer sous une protection auguste et spéciale". C'est l'œuvre charitable brestoise la plus importante de cette époque. Les membres bienfaiteurs, exclusivement féminins, versent 500 francs par an. On y trouve les épouses des négociants de la ville : Riou-Kerhallet, Kerros, Trischler, Stears, Bérubé, Chevillotte et celles d'édiles brestois : Bizet, Penquer, Delobeau. Les femmes sont aussi présentes dans des sociétés liées au redressement des mœurs telles "L'œuvre du Refuge", fondée en 1827, pour les filles repenties ou en danger de prostitution ; cette œuvre affirme qu'elle souhaite offrir "une assise aux personnes qui veulent se retirer du vice"....Lire la suite

Outils personnels