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C'est l'œuvre charitable [[brest]]oise la plus importante de cette époque. Les membres bienfaiteurs, exclusivement féminins, versent 500 francs par an. On y trouve les épouses des négociants de la ville : Riou-Kerhallet, Kerros, Trischler, Stears, Bérubé, Chevillotte et celles d'édiles brestois : Bizet, [[Léocadie Salaun-Penquer, femme de lettres|Penquer]], Delobeau. | C'est l'œuvre charitable [[brest]]oise la plus importante de cette époque. Les membres bienfaiteurs, exclusivement féminins, versent 500 francs par an. On y trouve les épouses des négociants de la ville : Riou-Kerhallet, Kerros, Trischler, Stears, Bérubé, Chevillotte et celles d'édiles brestois : Bizet, [[Léocadie Salaun-Penquer, femme de lettres|Penquer]], Delobeau. | ||
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Version du 13 octobre 2014 à 14:02
Travail, action sociale, loisirs et surtout famille et santé : les fonds des Archives gardent trace des femmes à travers leur vie quotidienne.
Elles transmettent une image de la bourgeoisie du XIXè où les femmes s'occupent de sociétés de bienfaisance comme la "société de charité maternelleâ€, création impériale de 1810 dont le but, à Paris comme en province, est "d'encourager la bienfaisance publique envers les mères indigentes, de les placer sous une protection auguste et spécialeâ€.
C'est l'œuvre charitable brestoise la plus importante de cette époque. Les membres bienfaiteurs, exclusivement féminins, versent 500 francs par an. On y trouve les épouses des négociants de la ville : Riou-Kerhallet, Kerros, Trischler, Stears, Bérubé, Chevillotte et celles d'édiles brestois : Bizet, Penquer, Delobeau.
Les femmes sont aussi présentes dans des sociétés liées au redressement des mœurs telles "L'œuvre du Refugeâ€, fondée en 1827, pour les filles repenties ou en danger de prostitution ; cette œuvre affirme qu'elle souhaite offrir "une assise aux personnes qui veulent se retirer du viceâ€....Lire la suite
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